
Ce vieil homme marchait sur la rue et avait l’air de porter tout le poids du monde.
Une fois arrivé à mon niveau, il m’a fait le sourire le plus radieux.
On s’est salué et mon cerveau s’est activé. Je me suis mise à penser à toutes ces années qui lui avait permis de cumuler tant de savoir.
Son besoin d’une canne devait certainement être pour l’aider à porter tous ses souvenirs, ses pensées et ses connaissances.
J’aurais tellement voulu lui piquer une jasette, échanger afin de valider mon impression, mais la vie c’est ça. On échange un sourire avec un inconnu mais on ne va pas plus loin. Dommage.